Qui n'a jamais entendu parler des ravages que peut occasionner une ou des addictions ? Cela nous touche même parfois de (très) près...
Soigner une addiction... |
Nous allons tenté dans cet article de faire le point sur ce fléau qui concerne beaucoup de personnes, et ceci quelque soit l'âge, l'origine sociale ou le milieu professionnel. Nous verrons comment soigner les victimes d'une addiction.
Quelque soit la raison ce cette addiction, si nous pouvons aider celles et ceux qui sont touché(e)s par ce phénomène, cela nous fera immensément plaisir.
Qu'est-ce
que l'addiction ?
(ou assuétude : ancien terme médical français
« Asservissement à une drogue par une dépendance psychique
et souvent physique. » Définition du Petit Larousse). Autrement dit qu'est ce qu'un comportement addictif, sa définition.
L'addiction
est un terme que nous avons adopté et qui nous vient de l'anglais
qui signifie la dépendance.
On
parle de comportement addictif (définition) concernant l'alcool, les drogues, les médicaments,
le tabac, mais il existe d'autres « addictions » ou
dépendances: au sexe, au shopping, au jeu, aux multimédia, aux
réseaux sociaux, aux portables (téléphones), à la télévision,
etc.
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On voit donc que pour un addicte la definition n'est pas si simple. Du coup soigner les addiction est également compliqué...
C'est
donc un véritable fléau qui peut toucher chacun, quelque soit son âge,
son niveau d'éducation, qu'il soit riche ou pauvre, montrant bien
souvent un malaise intérieur. L'addiction de la personne dépendante
a bien souvent de fortes répercussions sur son état de santé, sa
vie et son entourage.
C'est pourquoi soigner une addiction est très important.
C'est pourquoi soigner une addiction est très important.
Remarque:
une dépendance peut facilement en entraîner une autre comme le jeu puis
l'alcool, les médicaments, les drogues, dans un sens comme dans
l'autre...
Il faut bien faire la différence avec une passion ou un plaisir naturel qui ne sont pas des addictions.
A partir de quel moment a-t-on une addiction ?
Voyons 5 critères permettant une qualification de comportement addictif. Une définition selon ces critères est assez juste dans l'ensemble...
1 - Un sur-investissement: cela devient la chose à faire la plus importante dans la vie de la personne. C'est envahissant.
2
- Le conflit: intérieur et
extérieur. L'entourage signale son activité envahissante et
dangereuse, demande de diminuer ou d'arrêter. Mais la personne fait
cette activité en cachette, pour ne pas être critiquée, ne pas
décevoir. C'est un déséquilibre permanent de connaître les
effets toxiques sans pouvoir se contrôler et au contraire continuer (au lieu de soigner) son
addiction.
3
- Le manque: quand la substance,
l'activité cesse c'est physique et/ou psychique. Pourtant la
personne dit, ou se dit « j'arrête quand je veux».
4
- Le soulagement, dans le déni:
pour avoir suffisamment d'estime de soi. La personne en est persuadée, son
cerveau lui cache son addiction. Par exemple: « Je bois un
apéro, mais c'est rien du tout, untel en boit beaucoup plus ; je ne
suis pas saoul moi ». J'ai rencontré des personnes souffrant
d'alcoolisme avéré, qui parlent d'autrs personnes alcooliques... Elles sont
réellement soucieuses que des gens souffrent de cette maladie,
n'imaginant pas une seconde être elles-mêmes concernés.
Soigner son addiction est évidemment très compliqué dans ce cas. Un comportement addictif est par définition il est vrai tout sauf simple...
Un apéro, deux, trois, etc |
Soigner son addiction est évidemment très compliqué dans ce cas. Un comportement addictif est par définition il est vrai tout sauf simple...
Il peut y avoir un soulagement sur le court terme, mais pour souffrir longtemps.
5
- Une souffrance physique et psychique:
Elle
dévaste le corps et l'esprit. Car la personne qui a une addiction
s'empoisonne, se ruine,
dévaste ses relations avec les autres, elle ne peut plus contrôler
sa volonté, n'est plus autonome, ne dirige plus sa vie. Elle est
incontrôlable.
5 atouts pour soigner une addiction
- Un signal d'alarme pour se tourner vers « la lumière », la guérison.
On
dit que c'est souvent « avoir le sentiment de toucher le
fond ». Ce fond n'est pas le même pour chacun ! Il
n'est pas obligatoire que la personne ayant une addiction cherche
plus d'aide à ce moment là. Pourtant la douleur, la souffrance,
la perte de son permis, les condamnations, la perte de son logement,
la rupture sentimentale ou les séparations peuvent tirer la sonnette
d'alarme et réveiller le cerveau qui dissimule l'addiction et son
déni. Un réveil peut alors se faire et une recherche d'aide se déclencher.
- Il faut persévérer après « le réveil », pour venir à bout d'un comportement addictif, appelé (définition) sevrage (ou fin de l'esclavage !).
N'oubliez
jamais que rien n'est impossible, le corps et l'esprit humain se
régénèrent de manière fantastique. Cela peut sembler long, mais
il est nécessaire d'agir pour soigner une addiction.
- La volonté personnelle de celui ou celle qui a une addiction doit être pleine et entière, cette volonté est indispensable !
Et
n'oubliez pas que cette personne est en position de grande faiblesse, de
vulnérabilité, de détresse, même si elle ne veut pas toujours le
reconnaître.
Je dis ça pour l'entourage, car la colère, la rancoeur peuvent être immense, ce qui est aussi compréhensible. Pour vous préserver et l'épargner, l'intervention d'une tierce personne dont c'est le métier de soigner les addiction, d'un organisme dédié à cette forme d'addiction, est recommandée. Que ce soit la personne dépendante, ou pour l'entourage, de l'aide est possible (nous verrons dans la 2ème partie une liste de liens et de numéros de téléphones).
Je dis ça pour l'entourage, car la colère, la rancoeur peuvent être immense, ce qui est aussi compréhensible. Pour vous préserver et l'épargner, l'intervention d'une tierce personne dont c'est le métier de soigner les addiction, d'un organisme dédié à cette forme d'addiction, est recommandée. Que ce soit la personne dépendante, ou pour l'entourage, de l'aide est possible (nous verrons dans la 2ème partie une liste de liens et de numéros de téléphones).
- De plus, il faudra un grand soutien psychique et physique, de la part du médecin, de l'aidant pour soigner une addiction.
Il doit rassurer sur les peurs de
certains effets secondaires (les angoisses, un état fiévreux, les
prises de poids par exemple dans l'arrêt du tabac ou l'insomnie, la
fatigue, les maux de tête, les vertiges, les syncopes, les
tremblements, les troubles du comportement, les tocs...). Il faut en effet garder
confiance tout le temps que durera le sevrage, jusqu'à ce que ce
soit un succès, une libération. Le médecin sera là pour l'aide
physique également. L'organisme se nettoie de toutes ses substances pour
retrouver la santé.
- Avec des professionnels de la santé des remèdes respectueux, efficaces et adaptés pour soigner une addiction:
1 - Un
soutien homéopathique adapté au cas de chacun(e). Pour cela il faut
consulter un médecin Homéopathe afin que ce traitement soit bien
ciblé et vous aide au mieux. Il y a de bons retours pour
le sevrage du tabac et de l'alcool, ce qui est évidemment très
appréciable.
2 - Un
soutien avec la Sophrologie, l'aide d'un Sophrologue pour arrêter
toute sorte d'addiction. Retrouver son autonomie, sa liberté de
choisir sainement, être à nouveau en bonne santé, avoir de bonnes
relations et un bon moral.
3 - Une
structure adaptée à la pathologie, une clinique spécialisée par
exemple. Des groupes de parole, de l'entraide, une surveillance
médicale, des prescriptions médicamenteuses au besoin, etc. Ces
cliniques ont fait leurs preuves (avec la volonté du patient) sur leurs
méthodes et leur personnel adapté. Le suivis de programmes,
d'étapes. Vous trouverez quelques bonnes adresses dans la deuxième partie de
l'article.
4 -
L'acupuncture pourra soulager énormément de souffrances, de
douleurs différentes, tant physiques que psychiques. Elle est
d'ailleurs utiliser à la Maison C.A.L.M.E.
Pour accéder à leur site, cliquez ICI .
5 - L'E.F.T. « Emotional Freedom Techniques». Quelques séances
peuvent soulager des addictions, des peurs, des troubles, même des
Troubles Post-Traumatiques (TPS), des douleurs. C'est surprenant de
simplicité et d'efficacité. Sans aucun médicament.
La
méthode appliquée par le thérapeute est enseignée en partie à
celui qui consulte pour qu'il puisse faire lui-même certains
gestes/exercices lorsque le besoin s'en fera sentir. Cela permet
d'être autonome, d'avoir sa propre « boîte à outils »
de s'auto-traiter.
Vous
pouvez voir, par exemple, sur le site de Geneviève Gagos praticienne
en E.F.T.
Je
confirme, par expérience ça marche de façon remarquable !
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